Histoire de rattrapages

La fin du semestre approche, nous sommes sur la dernière ligne droite. Inquiétée ? Pas du tout ! Ravie ? Je ne vous le fais pas dire !!! Qui dit fin du semestre dit partiel final, l’occasion pour certains de « se donner à fond » et pour d’autres de « se reposer sur leurs prétendus lauriers ». Mais nous ne sommes jamais à l’abri d’un échec. Partiel qui tombe un mauvais jour, aucune inspiration, sujet de BIP (autocensure) ou encore le fameux petit ami qui vous quitte soudainement. (et oui, dès lors, les jeunes filles larguées se mettent à pleurer,il m’arrive parfois de croire, que je suis en plein tournage d’Hélène et les garçons version plus dramatique). Mais pour tous ceux-là l’Education Nationale a trouvé une solution. Vous avez droit au rattrapage pour essayer de vous rattraper. Perso, je trouve cela bidon car les partiels dit de « rattrapage » sont plus difficiles que les partiels « normaux ». Et puis, zut, arrêtez de nous faire croire que nous pouvons tout rattraper, oui ; on peut rattraper un cours, une balle lancée mais un partiel, très certainement pas. Game over.